Sa campagne, toute vêtue de vert, a aussi le charme britannique. Pas une once de cette terre qui ne soit à l’abandon - DR : OT Barbade
Surnommée parfois « Little England », La Barbade a été une colonie britannique pendant 350 ans.
Et elle peut encore faire penser à un confetti de l’Empire sous les tropiques.
Force est de constater que l’île la plus orientale des Caraïbes a su conserver les us et coutumes des compatriotes du Major Thomson.
Ici, les magistrats portent perruques, les collégiens sont en uniformes, les policiers ont la tenue de bobby (en version coloniale), les boites postales sont toujours de couleur rouge, les voitures circulent à gauche et à 17h le tea time demeure un rituel immuable.
Enfin, le cricket est le sport national. Il devient une religion à l’occasion des rencontres internationales. Le temps s’immobilise durant les matches, les habitants sont au stade ou calés devant leur téléviseur.
Sa campagne, toute vêtue de vert, a aussi le charme britannique. Pas une once de cette terre qui ne soit à l’abandon.
Au milieu de ces espaces verts, de coquets cottages enfouis dans des jardins très british, comme Huntes’Garden, à Saint Joseph. Le maître des lieux, Antony Hunte, vous reçoit dans son salon avec thé et whisky.
Un sentier conduit au fond d’une cuvette dans la terre, bordée d’un décor paysagé luxuriant, dominée par les arbres.
Des terrasses sont aménagées, on peut se poser pour lire ou écouter la musique classique qui flotte dans l'air, accompagnée par le chant des oiseaux.
Et elle peut encore faire penser à un confetti de l’Empire sous les tropiques.
Force est de constater que l’île la plus orientale des Caraïbes a su conserver les us et coutumes des compatriotes du Major Thomson.
Ici, les magistrats portent perruques, les collégiens sont en uniformes, les policiers ont la tenue de bobby (en version coloniale), les boites postales sont toujours de couleur rouge, les voitures circulent à gauche et à 17h le tea time demeure un rituel immuable.
Enfin, le cricket est le sport national. Il devient une religion à l’occasion des rencontres internationales. Le temps s’immobilise durant les matches, les habitants sont au stade ou calés devant leur téléviseur.
Sa campagne, toute vêtue de vert, a aussi le charme britannique. Pas une once de cette terre qui ne soit à l’abandon.
Au milieu de ces espaces verts, de coquets cottages enfouis dans des jardins très british, comme Huntes’Garden, à Saint Joseph. Le maître des lieux, Antony Hunte, vous reçoit dans son salon avec thé et whisky.
Un sentier conduit au fond d’une cuvette dans la terre, bordée d’un décor paysagé luxuriant, dominée par les arbres.
Des terrasses sont aménagées, on peut se poser pour lire ou écouter la musique classique qui flotte dans l'air, accompagnée par le chant des oiseaux.
La mer des Caraïbes pour dernier terrain vague
La capitale, Bridgetown, rappelle aussi le passage des Anglais, avec les monuments les plus emblématiques de l’île : cathédrale anglicane du XIIIe siècle, Chambre du Parlement, Parc Royal, Garrison Savannah le stade de cricket. Et la statue de l’amiral Nelson est toujours sur la place centrale, le National Heroes Square.
C’est de ce point que l’on commence la visite de la plus grande ville de l’île (plus de 100 000 habitants).
Les immeubles modernes des administrations, banques et magasins en détaxe alternent avec les petits bistrots, rhum shops, restos et boutiques en bois.
Et comme dans toutes les Antilles, le centre ville est occupé par un vaste marché coloré, aux échoppes éphémères.
En quittant la ville par le nord, en direction de la cité historique de Speightstown, on longe de splendides plages blanches bordées par les eaux turquoise de la mer des Caraïbes.
Retour aux paysages britanniques sur la côte est, avec Cherry Tree Hill : une épaisse forêt d’acajou qui conduit à un panorama sur l’Atlantique, aux paysages déchiquetés, rappelant les côtes irlandaises ou écossaises.
Il n’y a pas moins de 60 plages, toutes différentes. Ici, on n’est jamais loin du rivage. On dit qu’à la Barbade « en tous point, on peut voir la mer ». Il suffit de regarder au loin.
C’est de ce point que l’on commence la visite de la plus grande ville de l’île (plus de 100 000 habitants).
Les immeubles modernes des administrations, banques et magasins en détaxe alternent avec les petits bistrots, rhum shops, restos et boutiques en bois.
Et comme dans toutes les Antilles, le centre ville est occupé par un vaste marché coloré, aux échoppes éphémères.
En quittant la ville par le nord, en direction de la cité historique de Speightstown, on longe de splendides plages blanches bordées par les eaux turquoise de la mer des Caraïbes.
Retour aux paysages britanniques sur la côte est, avec Cherry Tree Hill : une épaisse forêt d’acajou qui conduit à un panorama sur l’Atlantique, aux paysages déchiquetés, rappelant les côtes irlandaises ou écossaises.
Il n’y a pas moins de 60 plages, toutes différentes. Ici, on n’est jamais loin du rivage. On dit qu’à la Barbade « en tous point, on peut voir la mer ». Il suffit de regarder au loin.
Sandals : « All inclusive » version luxe
« All inclusive», « Tout compris » : les formules hôtelières se multiplient et font fureur. A y regarder de plus près, les offres ne sont pas toutes semblables.
Le « Resort Luxury Included » aux Caraïbes de Sandals Resorts International se démarque des « all inclusive » limités aux boissons à table, au bar sélectif et buffet.
Dernier hôtel de la chaîne jamaïcaine, le Sandals Barbade propose 280 luxueuses chambres, de la suite en bord de mer aux chambres dans un parc tropical à la Barbade.
Le « Resorts Luxury Included » offre un choix de seize restaurants à la carte (italien, japonais, indien, poissons…), du dîner gastronomique au repas « pieds dans l’eau » en passant par le bistrot français.
Vins et alcools sont offerts aux bars, au night club, sur la plage, à table, mais également dans les chambres et suites, avec majordome privé.
Un majordome est à la disposition des clients des suites. On peut le joindre en permanence sur son portable.
Le « tout compris », c’est aussi l’accès à tous les sports terrestres et nautiques, à la salle de fitness, au tennis. Enfin, inutile de donner un pourboire. C’est interdit par le règlement. « All inclusive ». Même le tip !
Le « Resort Luxury Included » aux Caraïbes de Sandals Resorts International se démarque des « all inclusive » limités aux boissons à table, au bar sélectif et buffet.
Dernier hôtel de la chaîne jamaïcaine, le Sandals Barbade propose 280 luxueuses chambres, de la suite en bord de mer aux chambres dans un parc tropical à la Barbade.
Le « Resorts Luxury Included » offre un choix de seize restaurants à la carte (italien, japonais, indien, poissons…), du dîner gastronomique au repas « pieds dans l’eau » en passant par le bistrot français.
Vins et alcools sont offerts aux bars, au night club, sur la plage, à table, mais également dans les chambres et suites, avec majordome privé.
Un majordome est à la disposition des clients des suites. On peut le joindre en permanence sur son portable.
Le « tout compris », c’est aussi l’accès à tous les sports terrestres et nautiques, à la salle de fitness, au tennis. Enfin, inutile de donner un pourboire. C’est interdit par le règlement. « All inclusive ». Même le tip !
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